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pages a propos categories internationale litteratures non classé poesie et reflexions archives août 2011 juin 2011 archives août 2011 juin 2011 international internationale (1) litteratures (1) non classé (5) poesie et reflexions (2) juin 2019 l ma me j v s d « août 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 sondage désolé il n'y a aucun sondage disponible actuellement. visiteurs il y a 1 visiteur en ligne commentaires récents admin dans bonjour tout le monde ! articles récents trois lecons… couver l’amour d’une femme sous les vagues l’ombre de la lueur de dsk, alias ‘le perv’. ‘la grandeur d’un homme a toujours été sa faiblesse’ l’édito ! bonjour tout le monde ! liens créer un blog unblog.fr auteur: trois lecons… 24 août classé sous internationale par avrak | 0 commentaires les deux semaines passées ont été marquées par la lecture du fameux article l’ombre de la lueur de dsk, alias ‘le perv’. il a été long, vif et authentique. certains s’en ont plein ! ainsi, en guise de synthèse, l’idée nous est venue d’y revenir, encore une fois, seulement en trois leçons : 1. ça a toujours été que les erreurs de l’aîné ressortent quand brille le cadet. les aînés voudront le savoir. et de poursuivre : chacun de nous a ce qu’il tient dans l’ombre, dieu merci, ma confidence est toujours assurée même si un jour de honte viendra… 2. plus la tête d’un homme approche les nuages, plus les hommes de courte taille lui donnent les yeux, mieux il se doit faire attention aux moindres détails. sinon, suffira un vent innocent et timide pour lui faire s’écrouler. 3. comme la femme ne sera l’égale de l‘homme, voulons-nous alors plus souvent employer le terme ‘soutenance motivée et réfléchie de la femme’ en lieu et place de ‘l’émancipation’. par ricochet, l’homme accepte le devoir heureux, sachant que sa femme est loin son égale, de veiller lui témoigner amour, considération, participation, protection, prévenance et égards. facile à écrire et à lire ! beaucoup d’entre-nous ont pourtant failli et c’est à cette occasion qu’elles songent plus à l’émancipation. la femme voudra accepter joyeusement sa place, celle qui lui restitue son honneur et sa dignité, celle d’aide de camp de son mari. ces trois leçons saisies, il vous sera attribué le mérite d’avoir lu les péripéties de l’article l’ombre de la lueur de dsk, alias ‘le perv’. prince l. joshi ont collaboré à la rédaction de cet article : james bihame, technologie 1, ulpgl goma hamza nengo baba’s, g3 géologie, unigom découvrez plus d’article de prince l. joshi et ses collaborateurs dans les blogs http://.blog4ever.com et http://avrac.unblog.fr couver l’amour d’une femme 10 août classé sous litteratures , non classé , poesie et reflexions par avrak | 0 commentaires il y a deux, trois, voire même quatre années déjà passées qu’un artiste musicien de carrure internationale chantait, dans un album dont le titre et la chanson sont à découvrir, sans doute vous voulez chercher et trouver : ‘ en général, les histoires d’amour finissent mal…’. bien que ce soit de la musique, ces paroles ont une portée de vérité inconditionnelle. bien sûr, faut-il encore relever les circonstances et les évènements autour de chaque cas. si souvent la faute est consommée crue par les deux personnes désormais ex, elle relève naturellement d’une responsabilité partagée. ceci qu’importe la part de chacun ! en vérité, sortir avec une fille, du moins vivre avec une femme le plus longtemps que jamais, c’est ainsi s’inscrire à une école interminable. la raison en est que quoi que les attributs de la femme soient douceur, courtoisie, égards, flexibilité…il n’en est pas toujours le cas. faut-il alors nous intéresser à la manière de couver l’amour d’une femme. on rétribue, et c’est l’habitude des garçons en matière d’amour, plusieurs fautes d’une gravité souvent extrême au genre féminin. parfois, ça vaut la peine mais pas toujours. une fille, membre à part entière de la société moderne, est avant tout un être humain jouissant de la plénitude de ses droits les plus révolus.on cite celui d’aimer qui elle souhaite dans les circonstances et évènements librement choisis, se basant sur un criterium fixé à ses gouts, caprices et priorités. relevons aussi son droit irréfutable de revoir ses opinions en matière d’amour lorsque la défaillance du tenant du poste est établit. quoi de plus naturel! au-delà de ses droits légitimes, une fille se doit remplir son rôle tel que la nature elle-même et la société, quoi que moderne, l’exige. celui de mettre l’homme à l’aise, de n’est pas songer à l’égaler mais à le compléter et lui rappeler ses devoirs avec égards, de panser ses blessures d’amour de sorte qu’il n’arrive à regarder ailleurs. la femme y est pour beaucoup. a mes compaires, vous les garçons, un roi ne peut garder son royaume, même lorsque aucune menace se pointe à l’horizon, qu’au prix des efforts vigoureux, soutenus et quotidiens. la parallèle établit, ainsi on couve l’amour d’une femme. malheureusement…. ainsi dit, je viens d’achever de m’hasarder sur une piste en péril. a chacun de tirer l’essentiel. prince l. joshi sous les vagues 10 août classé sous poesie et reflexions par avrak | 0 commentaires un mot sur la poésie… ce poème fascinant écrit pour toi, te plaira, j’en suis certaine. prince, mon co-rédacteur, est un garçon bien, j’adore ses services. il a accepté volontiers d’y ajouter une touche masculine si bien que garçons et filles y trouveront chacun sa part. nous avons décidé, prince et moi, de fournir une explication imagée à la fin du poème. notre souci principal est de te le faire absorber davantage et que tu comprennes naturellement comment la vie se dessine autour de toi. accepte cependant qu’il s’agira plutôt d’une explication simple et non d’une analyse grammaticale approfondie. rappelle-toi aussi que dans le texte en prose, un article facebook par exemple, c’est l’idée à exprimer qui accouche l’expression. très facile à saisir, vois-tu ? en opposition, la poésie oblige que l’expression accouche l’idée à exprimer. ainsi, dans cette façon d’écrire, on s’intéresse d’abord à la forme, ensuite au fond du texte. pour les poètes de grandeur, nous y aspirons, forme et fond aboutissent ensemble si bien que la tendance est de croire que le fond précède la forme, c’est-à-dire que l’idée accouche l’expression ! loin s’en faut. tandis que vous savourez la beauté rythmée des rimes à la fin des vers, découvrez combien la forme et le fond s’entremêlent merveilleusement au flot de la pensée sous les vagues ça étonne ! sur la mer plane une pirogue, le vent s’y frotte et conspire contre elle avec les vagues, et ceux à qui l’ancien des jours a attribué conscience et intelligence, se malmènent de peur et de souffrance. tandis que sur le col pite siffle, chante et danse une colombe, ceux qui tiennent la pirogue lâchent tantôt les mains, tantôt les jambes. la mer est avide, hypocrite et inconsciente, parfois, elle se fâche pour rien, pour déplaire quand le temps ne chante. la pirogue s’en va lâcher des lazzis, ses bois lui échappent, ils ont moisi… que du vent ! egalement, que des vagues, et des testaments ! y a-t-il un de leur qui pense à sa haine, à son amour ou à son émoi ? ce sont ceux qui se fatiguent de tenir qui se noient… retenons ce qui suit : la mer : elle symbolise un échec insurmontable, une faiblesse, voire un défaut irrémédiable. le vent : ce sont de petites difficultés, celles qui sont passagères et parfois de faible ampleur. les vagues : elles symbolisent de grandes difficultés, celles résultant de notre culpabilité. la pirogue : elle symbolise la vie. les passagers de la pirogue : c’est toi, moi, un ami, ton compagnon, ta compagne… la colombe : ce sont des sadiques, ceux qui se réjouissent de nos souffrances. ‘sur la mer plane une pirogue,’ la vie est souvent secouée par des échecs insurmontables. naturellement, il y a toujours chez chacun d’entre nous quelque chose qui va mal. ça peut être trop d’intelligence que normalement ce